Ce sont les communistes, les Juifs et les francs-maçons qui veulent la tête du Maréchal Pétain. Héros de 1918, martyr de 1945.
C'est le front haut et l'esprit serein, que Pétain peut dire à ses juges : "J'ai fait à la France cadeau de ma personne." Peuvent-ils en dire autant, les divorcés et corrupteurs de la politique qui le qualifient de traître aujourd'hui ?
À l'heure de la grande épreuve, le maréchal, malgré son grand âge, accepta de couvrir de son glorieux manteau ceux à qui la France devait sa chute. Et ce sont ceux-là qui l'accusent aujourd'hui. L'histoire de France a de ces pages douloureuses. Mais honte à ceux qui les écrivent !
"Votre jugement, déclare le martyr, sera révoqué par celui de Dieu et de la postérité. Ceux-ci suffiront à ma conscience et à ma mémoire. Je m'en remets à la France."
Ne dirait-on pas l'écho de la voix de cette autre grande âme française qui, elle aussi, ne reçut qu'ingratitude en retour de son grand amour et de son grand dévouement pour la France — Jeanne d'Arc ? Elle aussi fut condamnée par un tribunal français ; elle est sur les autels aujourd'hui.
La clique qui poursuit le plus grand Français du jour est fille spirituelle de la clique qui livra Jeanne au bûcher.