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Finance juive et bolchévisme

le dimanche, 15 juillet 1945. Dans La politique

Pas un mouvement spontané

Comme le remarque le Canadian Social Cre­diter du 28 juin, c'est une erreur trop commune de croire que la révolution russe fut le fait d'un soulèvement soudain des paysans opprimés par le régime des Czars, renversant le gouvernement impérial de leur propre volonté et par leur pro­pre initiative.

Rien de plus faux.

Une révolution ne se fait pas ainsi et ne peut se faire ainsi à notre époque. Les gouverne­ments sont trop bien protégés par leur police et leur armée. Il faut de la préméditation, de l'organisation, et aussi de la finance pour se pro­curer les armes nécessaires et acheter ceux qui tiennent des leviers de commande.

Les promoteurs de la révolution bolchéviste s'y préparèrent de longue main. Ils avaient su­bi un premier échec en 1905 et la plupart des meneurs avaient été exilés. Leur succès de 1917 fut précédé d'une organisation plus mûrie et gras­sement financée.

Qui furent les promoteurs et qui furent les bailleurs de fonds ? Les promoteurs furent sur­tout des Juifs et les bailleurs de fonds furent de riches maisons financières juives de New-York, de Londres, de Paris, de Francfort et de Stock­holm.

Documentation

En attachant à la juiverie la promotion et la finance de la révolution russe de 1917, nous ne faisons point une assertion gratuite. C'est basé sur des dossiers du Service Secret américain.

Le document, préparé par le Service Secret américain, fut transmis au gouvernement fran­çais par le Haut-Commissaire de France à Washington et publié dans des journaux fran­çais en 1920.

Après avoir cité ce document dans un de ses suppléments, le journal La Vieille France ajou­tait :

"Tous les gouvernements de l'Entente furent mis au courant de ce mémoire, tiré des filiè­res du Service Secret américain et envoyé à cette époque au Haut-Commissaire et à ses collègues."

Ce document du Service Secret est divisé en huit sections. Les extraits qui suivent, des sec­tions 1, 3 et 8, cités par le Révérend Docteur Denis Fahey, ont été reproduits dans le Social Crediter (Liverpool) du 9 juin dernier.

Section 1

En février 1916, le Service Secret découvrit pour la première fois qu'une révolution était fo­mentée en Russie. On trouva que les personnes et les maisons financières suivantes, des États-Unis, étaient engagées dans cette œuvre de des­truction :

Jacob Schiff (Juif)

Guggenheim (Juif)

Max Breitung (Juif)

Kuhn, Lœb & ; Co., maison financière juive de New-York, dont les directeurs sont : Jacob Schiff, Félix Warburg, Otto Kahn, Mortimer Schiff, S. H. Hanauer (tous des Juifs.)

Il ne peut y avoir aucun doute que la Révolu­tion russe, qui éclata une année après l'émission de ces renseignements, fut lancée et fomentée par des influences distinctement juives. D'ail­leurs, en avril 1917, Jacob Schiff fit une décla­ration publique, se vantant que si la Révolution russe avait réussi, c'était grâce à son interven­tion financière.

Nous pouvons lui concéder ce témoignage et le répéter après lui.

Section 3

L'insurrection armée avait eu lieu dans les premiers mois de 1917. La révolution sociale eut lieu en octobre, alors que des organisations de soviets prirent la direction du peuple russe. Les personnes suivantes se distinguèrent dans ces so­viets ; nous donnons leur nom d'emprunt et, en­tre parenthèses, leur nom véritable, et nous leur faisons l'honneur de mentionner leur nationalité :

Lénine (Oulianov)......... Russe

Trotsky (Bronstein)........juif

Steckloff (Nackhames)   juif

Martoff (Zederbaum)        Juif

Zinovieff (Apfelbaum)   Juif

Kameneff (Rosenfeld)   Juif

Dan (Gourevitch)           Juif

Ganetzky (Rurstenberg) Juif

Parvus (Helphand)        Juif

Uri tzky (Padomilsky)    Juif

Larin (Lurge)                    Juif

Bohrin (Nathansohn)        Juif

Martinoff (Zibar)        Juif

Bogdanoff (Zilberstein)  Juif

Garin (Garfeld)    Juif

Suchanoff (Gimel) Juif

Kamnelff (Goldmann)....Juif

Sagersky (Krochmann)Juif

Riazonoff (Goldenbach) Juif

Solutzeff (Bleichmann) Juif

Piatnitsky (Ziwin) Juif

Axelrod (Orthodox) Juif

Glasunoff (Schultze)    Juif

Zuriesain (Weinstein)    Juif

Lapinsky (Lœwensohn) Juif

Section 8

Si l'on tient compte du fait que la maison bancaire juive de Kuhn, Lœb & ; Co., de New-York, est en contact avec le Syndicat financier Westphalie-Rhineland, maison juive d'Allema­gne, et avec les Frères Lazards, maison juive de Paris, et aussi avec la maison financière juive Gunzbourg, de Pétrograde, Tokio et Paris ;

Si, en plus on remarque que les maisons juives ci-dessus mentionnées sont en correspon­dance étroite avec la maison juive Speyer & ; Co., de Londres, New-York et Francfort-sur-Main, ainsi qu'avec la Nya Banken, établissement ju­déo-bolchévique de Stockholm ;

Il devient manifeste que le mouvement bol­chévique est en une certaine mesure l'expression d'un mouvement général juif, et que certaines maisons bancaires juives sont intéressées dans l'organisation de ce mouvement.

Un télégramme

Dans les documents publiés en octobre 1918, par le Comité d'Information Publique du gou­vernement des États-Unis, Washington, paraît le télégramme suivant :

"Stockholm, 21 septembre 1917. "

À M. Raphaël Scholak.

"Cher Camarade,

"Sur réception d'un télégramme du président du Syndicat Westphalie-Rhineland, la Banque Warbug & ; Co. vous informe qu'un compte est ouvert pour l'entreprise du Cama­rade Trotsky.

"Saluts fraternels,

J. Furstenberg."

x x x

Nous laissons aux lecteurs le soin de tirer des conclusions. Quelques-uns peuvent s'étonner, en lisant la liste des noms donnés sous la section 3, comment il se fait que tous ont changé leurs noms. C'est une coutume assez répandue chez ceux qui ont un passé peu glorieux. Staline est de ce nombre ; son vrai nom est Djougachvili. C'est aussi une coutume répandue chez nombre de Juifs établis au Canada. Il y a même un cer­tain Rosenberg, qui n'aime pas beaucoup le journal Vers Demain, qui s'appelle aujourd'hui Fred Rose, Juif évidemment, et qui a l'honneur d'être le premier député communiste au Parle­ment d'Ottawa.


Pour la prochaine guerre

Lorsque la crise battait son plein, en 1935, des déclarations soigneusement camouflées, filtrant de hauts lieux, exprimaient l'opinion qu'une grande guerre pourrait être bienvenue pour régler le pro­blème de la surproduction et du chômage. Ce qui porta le Golden Age, publication anglaise, à sug­gérer les règlements suivants au cas où une telle guerre devrait éclater :

"Que tous les membres du Parlement qui vo­tent pour la guerre aient le choix entre deux alter­natives : ou bien s'enrôler immédiatement dans les troupes de choc, ou bien être fusillés sur le perron de l'Hôtel du Parlement.

"Que chaque cuirassé, chaque croiseur, chaque corvette, chaque avion, chaque sous-marin, trans­porte, comme bagage de surplus, un ou plusieurs actionnaires des compagnies de construction na­vale ou aérienne.

"Que tous les fabricants de munitions soient pendus le jour où leurs profits atteignent le mil­lion de dollars.

"Que tous les prédicateurs qui annoncent à leurs fidèles que "le Très-Haut combat avec nous" soient expédiés dans l'au-delà, pour une entrevue personnelle avec le Très-Haut, afin d'apprendre exactement ce qu'il en est.

"Qu'on interdise aux professeurs de collège de fouiller des livres d'histoire pour prouver que l'ennemi a toujours été un coquin de la dernière espèce.

"Qu'on déclare clairement au peuple que la vé­ritable cause de la guerre, c'est pour diminuer le chômage, au lieu de déguiser l'entreprise sous le masque d'une guerre sainte pour sauver la civi­lisation.

    Warnham, Alberta    J. HAUSER

    *    *    *

N.D.L.R. — Le Canadian Social Crediter du 14 juin publie, sans commentaires, cette décou­pure du Golden Age que lui a transmise M. J. Hauser. Pour nous, nous exprimons sans détour le regret que ces règlements, suggérés en 1935, ou d'autres au moins aussi raides, n'aient pas été appliqués intégralement en 1939, dans tous les pays à mesure que les gouvernements parlaient d'entrer dans la danse. Ou bien la guerre n'aurait jamais été votée, ou bien elle aurait été fort courte et fort limitée. À voir les résultats obtenus, on peut être d'avis que l'Europe en particulier, et le monde en général, ne s'en porteraient que mieux.


Arcand libéré

Le gouvernement canadien vient de libérer Arcand du camp de concentration. Il y a long­temps qu'il aurait dû le faire, au lieu d'écouter Fred Rose et compagnie. De quel danger pouvait bien être Arcand toutes ces années-ci ? De quel danger, au moins depuis que les chances de l'Alle­magne étaient visiblement disparues ?

Nous n'avons rien à faire ni avec Arcand ni avec le parti qu'il dirigeait. Les idées fascistes, le règne de la force brutale, nous répugnent. Mais nous ne voulons pas non plus que les Juifs ou les communistes fassent la pluie ou le beau temps au Canada : ils y prennent beaucoup trop de place.

"La stupidité naturelle d'un homme n'est nulle­ment abolie, mais aggravée par sa culture." (Père Sertillanges)

* * *

"Un esprit borné est celui qui condamne tout ce qui lui échappe au nom de ce qu'il voit." (Père Sertillanges)

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