"Il est probable que la culture européenne, tant personnelle que communautaire, atteignit son plus haut niveau dans l'Autriche de la fin du dix-neuvième siècle. Ce n'est pas par pur accident que les efforts les plus brutaux de la Ligue des Nations judéo-maçonniques furent dirigés vers l'effacement de cette nation. L'idée habilement répandue que l'Autriche est simplement une province allemande était naturellement une fausseté absurde. La plupart des Autrichiens de la classe élevée se servaient du français comme langue normale et, par leur apparence comme par leur tempérament, rappelaient bien plus le Faubourg Saint-Honoré que l'Unter den Linden.
"La remarque triste et prophétique de Lord Grey — "Une par une, les lumières s'éteignent" — faisait certainement allusion à Vienne. Les excès bestiaux de Bela Kuhn (Cohen) furent déchaînés de l'extérieur contre une population sans défense. Ce n'est peut-être pas pour des raisons purement stratégiques que l'armée rouge, si peu pressée d'entrer en Prusse orientale, pousse avec force sur la frontière autrichienne."
(The Social Crediter, Liverpool, 16 déc.)
En marge de l'éditorial de Mlle Gilberte Côté :
"Il n'existe qu'un seul fondement sain pour une société de coopération, et c'est la responsabilité individuelle et personnelle. Je n'ai point du tout l'intention de baser mon argumentation sur des preuves théologiques, excepté là où ces preuves elles-mêmes sont susceptibles de démonstration. Mais il me semble difficile d'avoir une répudiation plus simple et plus finale du collectivisme sous toutes ses formes et de l'idée qu'une organisation peut absoudre un individu de la responsabilité de ses actes, que cette déclaration : "Il prit sur lui-même les péchés du monde".
(Major C. H. DOUGLAS)