Par le Professeur Harold Laski, dans Faith, Reason and Civilisation, page 27 :
"Le christianisme a fait faillite, et l'idéal russe prend sa place comme inspirateur de l'humanité et comme norme de morale publique. L'Ancien Testament est l'évangile du travail ardu ; tandis que, dans le Nouveau Testament, la figure centrale de Jésus ne montre aucun intérêt au monde travailleur. Le mal du christianisme, c'est qu'il s'incline devant le nationalisme. Le christianisme a eu relativement peu d'influence sur la constitution sociale."
Parions que le Professeur Laski est lié à l'École Économique de Londres, financée par des promoteurs juifs pour former les mouleurs du monde international de demain. Moscou pour remplacer Rome ; l'étoile bolcheviste au lieu de l'étoile de Bethléem ; plus de Christ, mais Staline !
En tout cas, le livre d'où est extraite cette citation est publié par une maison juive et porte la note : "Left Book Club Edition — Not for sale to the public". C'est-à-dire : "Édition pour les clubs de lecture de gauche — pas à vendre au public". Y aurait-il une édition un peu moins fortement dosée pour le public trop scrupuleux qu'il faut empoisonner par degrés ?
(Cf. The Social Crediter, Liverpool, 16 déc.)
Le 3 janvier au soir, deux ministres fédéraux parlaient sur les magnifiques accomplissements de leur administration et sur les programmes d'après-guerre.
L'Honorable Ilsley, notre ministre des finances, disait, entre autres, qu'après la guerre on devra fournir du travail à près de cinq millions de travailleurs des deux sexes, soit un million de plus qu'au fort de 1929. Mais il espère que la tâche est possible :
"grâce au succès qu'a eu jusqu'ici la lutte contre l'inflation, et grâce à l'augmentation de la capacité de production de notre pays." M. Ilsley pourrait-il nous dire s'il y avait de l'inflation de 1930 à 1940, ou si alors la capacité de production du pays était insuffisante ? Pourtant, combien de Canadiens sans emploi dans ces années-là ! Ne pourrait-on pas s'en prendre un peu à la capacité de payer ?
La Russie Soviétique veut manger presque la moitié de la Pologne. La propagande mondiale est de plus en plus du côté de la Russie, malgré tout ce qu'on nous a chanté sur l'urgence de voler au secours des héroïques Polonais en 1939. La presse universelle ou bien prend pour la Russie ou bien se tait complètement sur l'amputation de la Pologne. D'autre part, en Grèce, des désordres civils sont fomentés surtout par l'élément communiste. L'armée anglaise, sur les lieux et responsable de ce théâtre de guerre, intervient à côté du gouvernement légitime pour rétablir l'ordre. La presse mondiale condamne généralement cette intervention.
Égorge-t-on le Polonais catholique, il est à peu près seul à crier. Touche-t-on au communiste ou au Juif, le monde entier crie.
Et quand nous disons presse mondiale, nous incluons la plupart des journaux canadiens, même ceux de la province de Québec.
Avis aux conscriptionnistes :
"Une majorité cesse d'être valide lorsqu'elle est conduite vers un objectif que les individus qui la composent ne comprennent pas, ou lorsqu'une minorité dissidente est forcée de l'accompagner." (Major C.-H. Douglas).