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La démocratie en action

le mercredi, 15 août 1945. Dans La politique

On a défini la démocratie : le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple.

Gouvernement du peuple — Tous les gouverne­ments, même les dictatures, sont des gouverne­ments du peuple. On aurait donc pu se dispenser de ces mots-là dans la définition de la démocra­tie.

Gouvernement par le peuple — C'est "par les élus du peuple" qu'il faut dire. Le peuple n'admi­nistre pas ; ce sont des hommes choisis par lui qui administrent. C'est là, en effet, un des caractères de la démocratie. Et on le sait. Tout le monde sait ce que c'est qu'une élection. Et on serait bien mortifié s'il n'y avait jamais d'élection. On peut donc dire que les Canadiens comprennent ce ca­ractère-là de la démocratie : l'élection des admi­nistrateurs.

Gouvernement pour le peuple — Il nous semble que c'est là le point le plus important. Quels que soient les hommes au pouvoir, s'ils gouvernent vraiment pour le peuple, le peuple peut être con­tent. Mais s'ils gouvernent contre le peuple, même s'ils ont été élus par lui, ce n'est pas du tout une démocratie, mais une dictature par les élus du peuple.

* * *

Notre gouvernement gouverne-t-il pour le peu­ple ? C'est au peuple à le dire. Et qui est le peu­ple ? Ce sont les hommes et les femmes qui for­ment la population du pays.

Demandons-leur ce qu'ils pensent du gouverne­ment.

Allez sur la rue ; entrez dans les maisons des villes, dans les maisons des campagnes, dans les cabanes des colons, dans les bureaux des profes­sionnels, chez les mineurs, chez les bûcherons ; mettez les gens en confiance et écoutez leurs con­versations. Partout, ce sont les mêmes plaintes. Tous fournissent sans compter les efforts de leurs bras et de leurs cerveaux ; mais tous se plaignent que les résultats sont loin d'être conformes à leurs aspirations et à leurs efforts. Ils n'accusent pas des causes naturelles. Ils disent qu'ils sont lésés par des facteurs qui échappent à leur contrôle. Ils critiquent le gouvernement, ils se plaignent du gouvernement.

Évidemment, cela ne sert à rien. Il faut s'y prendre autrement. Ceux qui se plaignent, avec fondement d'ailleurs, devraient prendre les moyens d'influencer le gouvernement dans leur sens, au lieu de laisser le gouvernement subir seu­lement les influences qui mènent là où personne n'est satisfait d'aller.

La machine démocratique existe justement pour cela : pour que les citoyens soient servis par les gouvernements qu'ils ont choisis et qu'ils paient. Servis, pas dans leurs intérêts privés, mais par l'établissement de circonstances qui permettent à chacun de bénéficier à plein de ses propres efforts.

On a trop l'habitude de confondre l'appareil dé­mocratique avec le mécanisme électoral. Le méca­nisme électoral n'est qu'un rouage de l'appareil démocratique, un rouage qui ne fonctionne qu'en passant. Mais l'appareil lui-même est toujours là et fonctionne, ou peut fonctionner, constamment. S'il ne fonctionne pas à la satisfaction générale des citoyens, mais seulement en faveur de gros intérêts privés, c'est que les citoyens n'y voient pas et que les gros intérêts privés y voient.

L'appareil démocratique se compose du gou­vernement et du parlement. Il ne faut pas con­fondre les deux. Le gouvernement, ce sont les mi­nistres. Le parlement, ce sont les députés.

La fonction du gouvernement, c'est d'adminis­trer pour nous. La fonction des députés, c'est de dire au gouvernement ce que les électeurs veulent avoir dans l'ordre général.

Le gouvernement est responsable au parle­ment, c'est-à-dire aux députés. Les députés, eux, sont responsables à leurs électeurs.

Le gouvernement convoque les députés en ses­sion, justement parce qu'il leur est responsable. Si un gouvernement ne convoquait jamais le Parle­ment, s'il agissait sans les députés, on crierait à la dictature, et on aurait raison.

Eh bien, les députés, qui sont responsables à leurs électeurs, et qui ne convoquent jamais leurs électeurs, qui agissent pendant quatre ans sans prendre l'avis de leurs électeurs, est-ce que ce ne sont pas des dictateurs ?

Comment peuvent-ils savoir mieux que nous ce qu'il nous faut ?

Ce n'est pas dans les caucus de partis qu'on apprend à connaître la volonté des électeurs. Les caucus donnent plutôt la volonté des chefs de partis. Pour que les députés connaissent la vo­lonté de leurs électeurs, ils doivent rencontrer les électeurs, et les électeurs doivent parler à leurs députés.

Pourtant, où est l'habitude des rencontres entre les députés et les électeurs ? Quand a-t-on vu les députés rassembler leurs électeurs, pour prendre avec eux de grandes décisions avant de s'exprimer au Parlement ?

C'est justement cette habitude démocratique de rencontres périodiques entre électeurs et dépu­tés, que l'Union Créditiste des Électeurs s'efforce de créer. Et c'est la raison des assemblées de comtés qu'elle a organisées en plusieurs comtés, pour que les électeurs donnent des commissions publiques à leurs députés avant l'ouverture de la prochaine session fédérale.

Ce n'est qu'un commencement. La répétition créera l'habitude. C'est la démocratie en action qui, croyons-nous, ralliera un nombre croissant d'électeurs et un nombre croissant de députés.


Refusez de payer ces timbres

Nous envoyons des reçus à ceux dont nous rece­vons de l'argent d'abonnements. Ces reçus sont au miméographe, sauf la date étampée au caoutchouc et sauf l'adresse. Nous mettons un timbre d'un sou et l'enveloppe n'est pas cachetée.

Nous apprenons, et avons des preuves, que cer­tains maîtres de poste collent 6 sous de timbres à percevoir (postage due) et demandent six sous au destinataire pour affranchissement insuffisant.

C'est comme si on vous demandait, à vous, l'abon­neur qui s'est dévoué gratuitement, une taxe de 6% sur l'abonnement. C'est inadmissible.

Refusez absolument de payer ces six sous au bu­reau de poste. Montrez, au besoin, à votre maître de poste la lettre ci-après, de M. Ludovic Germain, di­recteur postal de district, Montréal, qui nous trouve parfaitement en règle de n'affranchir ces enveloppes que d'un timbre d un sou.

Faites remarquer à votre maître de poste que le texte du reçu est miméographié, non pas simplement clavigraphié. Il y a des maîtres de postes assez igno­rants pour ne pas savoir faire la différence.

DIRECTION DU DISTRICT POSTAL

Montréal, 31 mai 1944 Vers Demain

Case 17, Succ. postale Delorimier

Montréal

Messieurs,

Je me réfère à votre lettre du 22 mai au sujet de reçus que vous désirez envoyer au tarif des imprimés.

Il est bien entendu que tout le texte sera imprimé au miméographe, y compris le montant de la sous­cription, et que l'adresse du destinataire, insérée à l'encre ou au clavigraphe, servira comme adresse dans une enveloppe à panneau, et que la date sera la date de la mise à la poste.

Dans ce cas, vous pouvez expédier au tarif de 1 c. l'unité, pourvu, bien entendu, que l'enveloppe ne soit pas cachetée et qu'au moins 20 copies identiques soient déposées en même temps à un bureau de poste et non jetées dans une boîte à lettres.

Bien à vous,

LUDOVIC GERMAIN

Directeur du district


Conseil National le 27 août

L'Association Créditiste du Canada, fondée à Toronto en avril 1944, reconnaît l'autonomie complète des organismes provinciaux. Ainsi, dans notre province, l'Union Créditiste des Électeurs voit elle-même à son affaire ; elle ne reçoit aucun ordre de l'organisme fédéral.

Le rôle de l'organisme fédéral, c'est d'établir une liaison entre les organismes provinciaux, de faire chacun bénéficier des idées des autres, de favoriser l'éclosion dans les provinces peu ou non organisées. C'est aussi de prendre attitude, de­vant le gouvernement fédéral, devant la Commis­sion de la radio et devant d'autres institutions fédérales, au nom de tous les créditistes du Ca­nada, dans le domaine spécifiquement délimité par la plateforme adoptée à Toronto.

L'exécutif de l'Association Créditiste du Cana­da se compose du Leader national, qui est en même temps président de l'Association, M. So­lon Low, et du vice-président, M. J.-Ernest Gré­goire.

Cet exécutif est assisté, pour les décisions ma­jeures, par un conseil national composé potentiel­lement de neuf membres : un pour chaque pro­vince organisée. C'est l'organisme de la province qui nomme ce membre. Le conseiller pour notre province est M. Louis Even.

Le Conseil National de l'Association créditiste du Canada s'est réuni une seule fois jusqu'ici : le lendemain de la Convention de Toronto et à Toronto même.

La deuxième réunion aura lieu à Ottawa, le 27 août prochain, sous la présidence de l'Hono­rable Solon Low. Des questions importantes y seront discutées. On devra, entre autres, prendre une décision pour la date, le lieu, le mode de con­vocation et le genre de représentation à la pro­chaine Convention Nationale de l'Association. La constitution stipule, en effet, qu'une Convention Nationale doit être tenue dans les douze mois qui suivent une élection fédérale. Une telle Con­vention est donc due avant le 11 juin 1946.


St-Gérard de Berry

St-Gérard de Berry est une paroisse de coloni­sation située à sept ou huit milles au nord de Vil­lemontel (Abitibi-Est). Les créditistes ardents de Villemontel y ont porté la lumière créditiste, et elle a été reçue et comprise. Rosario Bézier, nous écrit :

"Je vous envoie un mot. Je ne sais si cela vous intéresse ; mais moi, ça m'intéresse beau­coup : c'est le résultat de l'élection dans la paroisse de St-Gérard Berry. Le Crédit Social y est arrivé en tête avec 68 votes créditistes. Le plus proche après nous a été le parti libé­ral avec 65 votes".

Certainement, M. Bézier, cela nous intéresse et intéresse tous les amis de la cause : Si une paroisse peut donner une majorité créditiste, cela prouve qu'une majorité créditiste n'est pas impossible, et les autres paroisses peuvent viser à en faire au­tant. Mais pour cela, il faut d'abord y faire des créditistes et ne pas attendre les élections pour s'y mettre.


Le "Message"

Le Message aux créditistes s'appellera désor­mais le Message aux Défricheurs. Ce titre marque­ra mieux son but et les personnes auxquelles il s'a­dresse.

Le Message sera envoyé exclusivement aux Dé­fricheurs. Nous considérons comme Défricheurs ceux qui prennent au moins un abonnement à Vers Demain tous les quinze jours. L'arrivée du journal, deux fois par mois, doit rappeler au Dé­fricheur son engagement. Le Message aux Défri­cheurs continuera d'être gratuit. Il sera générale­ment miméographié, les frais d'impression pour un tirage restreint étant trop élevé pour chaque unité.

Nous nous en tiendrons strictement à cette atti­tude : lorsqu'un Défricheur aura été deux semai­nes sans envoyer d'abonnement, son nom sera re­tranché de la liste d'expédition du Message. Nous prions le Défricheur ainsi privé de ne pas considé­rer cela comme une punition. Il continuera d'être considéré comme un bon créditiste, et son nom avec ses conquêtes restera dans le fichier des Dé­fricheurs. D'ailleurs, dès qu'il enverra de nouveau un abonnement, son nom reviendra automatique­ment sur la liste d'expédition du Message, aussi automatiquement qu'il en disparaît quand deux semaines se sont écoulées sans abonnement.

Nous ne pouvons établir un système d'excep­tions, ce serait surcharger l'administration et dé­truire le but spécifique du Message.

Nous espérons que cette explication sera com­prise et évitera des froissements qui font autant souffrir la direction que les parties qui se jugent offensées.


Drummondville

Edmond Major est bien décidé à placer sa ville au rang qui lui convient comme centre créditiste déjà ancien. La montée du mouvement à Drum­mondville date, en effet, de 1941.

Sans pouvoir donner au Crédit Social d'autre temps que ses soirées et ses dimanches, Edmond a bien voulu aussi accepter de faire office de com­mandant pour les deux comtés provinciaux de Drummond et d'Arthabaska. Il verra donc un peu plus souvent ses amis de Victoriaville, de War­wick, de Kingsey Falls et d'ailleurs.

À Drummondville, le local pour les réunions hebdomadaires est maintenant situé au numéro 17, rue St-Lucien, Ville Saint-Joseph. On s'y réunit tous les samedis soirs, à huit heures et demie. Grande bienvenue à tous.


Feu Théophile Bouchard

Le 4 août dernier, M. Théophile Bouchard, père de notre commandant-missionnaire Louis-Philippe Bouchard, décédait à l'Hospice des Sœurs de la Cha­rité de Québec, à l'âge de 88 ans. Ses imposantes funérailles ont eu lieu le 6 août, à Saint-Nom-de­ Marie de Sayabec, Vallée de la Matapédia, paroisse dont il fut l'un des fondateurs et où il résida pen­dant 45 ans. Malgré son grand âge, M. Théophile Bouchard était lecteur assidu et fervent admirateur de Vers Demain. Nos vives sympathies à Louis-Philippe Bouchard et à tous les membres de la fa­mille du défunt.


Activités partout

District de Québec

L'enthousiasme est à un niveau élevé dans la communauté créditiste de la capitale de Nouvelle-France. De Québec même, de Lévis, de Lauzon, d'Ancienne-Lorette, de Charlesbourg, et d'autres places, des équipes de Voltigeurs partent chaque dimanche avec une énergie inlassable. Les unes vont du côté de Portneuf, d'autres sur la côte de Beaupré ou dans l'Île d'Orléans ; d'autres mordent à grosses bouchées dans le comté de Bellechasse et entreprennent le comté de Lotbinière.

La ville de Québec est actuellement sous la di­rection de M. Henri Borgia, et le district entier relève du plus jeune de nos commandants, Paul-Eugène Drolet.

L'équipe d'Adélard Bélair, qui avait levé 20 abonnements le 22.juillet, en a pris 27 le 29 juil­let, dans Armagh, en plein centre de Bellechasse. L'équipe de Bélair n'aime pas être battue, mais elle l'a été le 5 août par l'équipe d'Henri Jobin, de Lauzon. D'ailleurs, à peu près toutes les équipes se distinguent. Huit paroisses du comté de Belle-chasse ont maintenant de bons noyaux créditistes. Ce comté était en retard ; c'est le seul de sa région qui ne se trouvait pas assez touché pour mettre un candidat des électeurs à l'élection du 11 juin. Il monte.

Le commandant du district de Québec, Paul-Eugène Drolet, ose lancer un défi aux autres dis­tricts de la province.

Région abitibienne

Laurent Legault, de Rouyn, fait office de com­mandant dans cette région, bien qu'il ne donne au Crédit Social que ses soirées et ses dimanches. Malgré cela, et aussi malgré qu'il n'a que quatre comtés provinciaux sous sa juridiction — Abitibi-Est, Abitibi-Ouest, Rouyn-Noranda et Témisca­mingue — il relève le défi de Paul-Eugène Drolet. Chaque dimanche, et plusieurs soirs sur semaine, Laurent et ses hommes sont sur pied. Ainsi, avec les créditistes de La Sarre, il allait à Palmarole le 29 juillet et y prenait 25 abonnements, chiffre considérable pour la population de Palmarole. Le même jour, les Voltigeurs de Rouyn prenaient 16 abonnements. Succès analogues par plusieurs au­tres équipes du district.

Dans le sud

Le samedi 28 juillet, Hervé Provencher, com­mandant du district des Cantons de l'Est, mettait une équipe sur pied à Thetford pour le lendemain, sous la direction de Jos. Gagné. Puis il repartait pour Sherbrooke, pour le dimanche. D'autre part, Gérard Mercier et M. J. A. Marchand de Québec, venaient aider à Thetford pour le dimanche. L'é­quipe de Jos. Gagné est allée à St-Adrien d'Irlan­de et a pris 29 abonnements dans cette modeste paroisse rurale ; à lui seul, le marchand de Québec en levait 14.

Ce n'est pas une simple partie de plaisir. Le résultat se greffe sur des efforts et des sacrifices que seuls connaissent ceux qui y prennent part. Ainsi, le marchand de Québec en question avait dû, le matin, attendre l'auto, pendant une heure, sur le trottoir de Québec : il n'avait pas traîné au lit. Le midi, il partait pour ses visites de porte en porte sans autre dîner qu'un petit gâteau et un verre de liqueur douce. Mais les créditistes n'en­registrent pas leurs privations, ils préfèrent enre­gistrer des conquêtes.

En Beauce

Puisque nous en sommes à parler du dimanche 29 juillet, relevons un beau coup de filet en Beau­ce. Rosaire Fortier, commandant du district qui va de la Beauce jusqu'à la pointe de Gaspé, se rendait ce jour-là à St-Victor de Beauce, avec 4 Voltigeurs d'East Broughton. Après une vibrante allocution à la porte de l'Église, au sortir de la grand'messe, ils prenaient le chemin pour un porte-en-porte qui rapporta 29 abonnements.

Ailleurs

Et c'est dans toute la province que l'esprit cré­ditiste souffle et soulève.

Jean-Robert Ouellette, commandant du dis­trict du Saguenay, de la Mauricie et de tout le nord du St-Laurent, de Champlain à Hull, a été le premier à relever le défi du district de Québec. À voir les activités qui règnent, du côté de Chi­coutimi surtout, ce n'est pas une audace mal fondée.

Dans Montréal, on organise actuellement un ré­seau d'appels téléphoniques autour de la radio, par les Défricheurs. Des équipes de Montréal sor­tent aussi en dehors le dimanche, d'autres opèrent en ville même.

Il serait trop long de signaler tous les centres qui bougent. Nous recevions récemment un lot de 37 abonnements de Sorel, dont 29 avaient été pris par le même Voltigeur : un nouveau dans l'action. Les amis de la cause apprendront avec intérêt que des noyaux actifs se forment et des équipes se lèvent dans des comtés éloignés, comme Riviè­re-du-Loup, Témiscouata et Matapédia, sur la côte sud du golfe, et aussi dans le nord, comme à Parent, dans le comté de Laviolette.

C'est, dans plusieurs de ces places, le fruit mû­rissant du travail ardu et méritoire de notre grand et infatigable missionnaire, Louis-Philippe Bou­chard.


Journée-Congrès de Québec

DIMANCHE, 2 SEPTEMBRE

Tel que déjà annoncé, notre Congrès Provincial cette année prendra la forme de quatre Dimanches créditistes tenus en quatre places différentes : Qué­bec, Sorel, Rouyn, Thetford.

La première de ces journées-congrès aura lieu à Québec, le 2 septembre. Elle comprendra des ren­contres, de l'action, une revue de l'année, un ex­posé de la situation actuelle, des programmes, un exposé clair de la philosophie du Crédit Social.

Nos créditistes feront tout leur possible pour assister à l'une ou l'autre des quatre journées-con­grès. Voici le programme pour le Dimanche de Québec :

A. M.

7.00 — Les créditistes entendent la mes­se (à la cathédrale).

9.00 — Première réunion au Palais Mont­calm.

9.30 — Discours d'ouverture.

10.30 — Organisation pour visites.

11.30 à 1.30 — Deux heures de visites.

P. M.

3.00 — Assemblée des Congressistes au Palais Montcalm.

Revue de l'année.

Situation actuelle.

Objectifs et programmes.

6.00 — Souper.

8.00 — Assemblée des Congressistes au Palais Montcalm.

L'essence du Crédit Social.

N. B. — Le public est admis et bienvenu à toutes les séances.

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