Plutôt que de mâter la dictature de l'argent, qui plaçait le tiers de la population des États-Unis dans la misère en face de l'abondance, Roosevelt préféra établir des commissions pour régenter la vie américaine. Et dans ce planisme à la manière décrite dans les Protocoles des Sages de Sion, il suivit l'inspiration d'une couple de douzaines de Juifs puissants.
Nous avons déjà parlé de Bernard Baruch, qui s'est lui-même déclaré l'homme le plus puissant des États-Unis après le Président durant la première guerre mondiale. Il resta le conseiller des successeurs de Wilson, jusque sous Roosevelt et jusque sous Truman. Récemment, Baruch faisait un voyage en Europe, pour voir à ce que les Alliés victorieux organisent le monde selon ses désirs.
Un autre Juif qui fit moins parler de lui après son élévation sur le banc de la Cour Suprême, mais qui continua quand même d'influencer les conseils du président, c'est Félix Frankfurter.
De lui, Noël Busch écrit :
"Après Hopkins, le conseiller le plus influent du président a probablement été Félix Frankfurter, émigrant autrichien d'ascendance juive. Son élévation à la Cour Suprême n'a pas empêché le petit juge d'exercer une orientation perceptible sur les affaires de la nation. Ses vues, ou mieux ses désirs, continuent d'imprégner la capitale dans son ensemble, et la clique du Président en particulier. Et ainsi, même lorsqu'il croit en voir un autre, le Président, en réalité, voit souvent Frankfurter, pour ainsi dire, sous un déguisement."
Busch mentionne aussi comme Juifs influents le juge Rosenman, Isador Lublin, Benjamin Cohen. Rosenman a été, entre autres, aviseur légal du Président.
Il y en a d'autres, tels que Berle, Morgenthau, etc., tous en relation avec la maison financière Kuhn, Lœb & Co., qui joua un rôle de premier plan dans le financement de la révolution bolchéviste.
On sait que Paul Warburg, de New-York, (émigré d'Allemagne), fonda cette maison. Lui et son frère Max Warburg, resté en Allemagne, furent tous deux aviseurs financiers au Traité de Versailles, après la première grande guerre : Paul pour les Alliés, Max pour les Allemands. La finance n'a pas de patrie, ni les Juifs non plus.
Les descendants de Paul Warburg sont encore en affaires à la Kuhn, Lœb & Co. Mais la revue juive "B'nai Brith Messenger", nous avertit aimablement que M. Herbert H. Lehman possède assez de prestige pour chausser les souliers de Warburg. Ce doit être un grand compliment à l'adresse de Lehman.
C'est cet Herbert Lehman que les Alliés ont placé à la tête de l'organisme mondial, l'U.N.R.R.A., pour essayer d'ordonner la vie des habitants de la terre. C'est lui qui dit aujourd'hui au Canada, aux États-Unis et autres nations ce qu'il faut rationner, et à quel degré. Nous lui devons le rationnement actuel de la viande et le resserrement actuel dans le rationnement du sucre. Les Juifs sont faits pour régenter le monde (Protocoles). Sous couleur d'humanitarisme, évidemment.
La B'nai Brith est une loge maçonnique ouverte exclusivement aux Juifs. Elle possède une influence énorme aux États-Unis et ailleurs.
B'nai Brith signifie, en hébreu, "Fils de l'alliance". Cette loge fut fondée à New-York en 1843. Elle ne pénétra en Angleterre qu'en 1910, mais elle y exerce déjà une grande influence. Elle voulait la guerre dès 1938, alors que l'Angleterre, nullement prête, aurait été écrasée comme une mouche.
Parmi les membres anglais de B'nai Brith, on mentionne aujourd'hui Chaim Weizman, J. H. Hertz, Neville Laski, Israël Moïse Sieff, Claude G. Montefiore (banquier réputé). Ce dernier a déjà été membre de la branche berlinoise de cette société internationale.
D'une courte histoire de la B'nai Brith, écrite par Paul Goodman et publiée par la Loge de Londres, la Christian Free Press extrait les notes suivantes :
"Les Fils de l'alliance ont réussi à établir environ 600 unités de leur association, répandues dans tous les États-Unis et dans 28 autres pays. (Ils en ont une à Montréal.) Ils fondaient des loges à Rio de Janeiro et à Mexico en 1934, et jusqu'à Khartoum, au Soudan, en 1935.
"Ce vaste réseau de l'effort juif, dans le vieux et le nouveau continents, étroitement relié en un corps uni, mu par un idéal commun, représente la plus grande force des temps modernes pour l'avancement des intérêts juifs dans la Diaspora (la Dispersion.)
"Elle exerce son influence politique par les canaux de la diplomatie, pour aider les Juifs de Russie, de Roumanie, d'Allemagne et d'ailleurs. Elle s'est alliée politiquement à la loge "L'Alliance israélite universelle", fondée à Paris, en 1860, par le franc-maçon notoire Adolphe Crémieux."
(Extrait d'une étude publiée par Eric D. Butler, dans des éditions successives du New Times de Melbourne, Australie. Ce passage est du 22 juin 1945.)